2e régiment d’artillerie à pied de Metz

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Historique :

 1792 :

Le 1er janvier, le régiment était en garnison à Besançon. Cinq compagnies partirent de Besançon (4 février) pour atteindre Auxonne (5 février). Au total il comprenait un effectif de 1 178 hommes et 339 manquants.

L’État-major et deux compagnies, deux escouades et demie étaient à Besançon. Quatre compagnies et demi étaient à Huningue, deux à Neuf-Brisach, une à Schelestat, une à Phalsbourg, une à Belfort, une à Cornol, une à Châtillon de Michaille, une à Nice, une à Lyon, deux à Bruxelles, une escouade et demie au château de Joux, une à Salins, une à Porentruy et enfin deux à Blamont.

Une compagnie serait partie de Besançon (26 février) pour se rendre à Lyon. Trois compagnies du régiment étaient censées partir de Besançon (début avril) pour se rendre à Auxonne.

Le 1er novembre, une compagnie du régiment se trouvait à l’avant-garde de l’armée d’Italie[1].

1793 :

Une compagnie de canonniers du 2ème régiment partit de Besançon (26 février) et arriva à Brest (14 avril).

1794 :

Un détachement de 48 hommes, deux en congé, deux aux hôpitaux se trouvait (7 janvier) à l’armée des Alpes.

1798 :

La 19e compagnie du régiment était au corps de Brune, la 18e compagnie sous Baraguay d’Hillier à l’armée d’Italie, le 30 frimaire an VI.

1799 :

Les 11e, 17e, 18e et 19e compagnies du régiment était à l’armée d’Italie, au 30 vendémiaire an VII.

1800 :

Les 3e, 5e, 10e, 12e, 14e, 15e, 16e, 17e et 20e compagnies du régiment étaient à l’armée du Rhin en l’an VIII.

Chef de brigade du régiment[2] :

 Au 9 novembre 1799 : chef de brigade Simon de Faultrier,

En 1803 : chef de brigade de Julliac de Manelle.

Portraits :

Charles-François comte de Randon Dulauloy, né à Laon dans l’Aisne le 9 décembre 1764. Elève d’artillerie (avril 1780). Lieutenant en second au ci-devant régiment d’artillerie de Toul (1781). Lieutenant en 1er (1788), capitaine en second (avril 1791). Capitaine-commandant (mai 1792). Adjoint aux adjudants-généraux dans la 17ème division militaire, en mission extraordinaire en Angleterre pour la fabrication d’armes. Commandant l’artillerie du camp sous Paris (septembre). Inspecteur de la manufacture d’armes de Moulins (octobre), chef de bataillon (1er février 1793). Envoyé à l’armée des Côtes de Cherbourg (octobre), il servit aux combats d’Angers, de Baugé, de Savigny. Suspendu de ses fonctions comme noble (décembre 1793), il était toutefois toujours en fonction (février 1794). Employé à l’armée du Nord (juin). Chef de bataillon au 2ème régiment d’artillerie à pied (juillet), chef de Brigade (août). Il servit aux sièges d’Ypres, de Nieuport, de l’Ecluse, de Bois-le-Duc et de Grave. Général de brigade (décembre), employé à l’armée de Sambre-et-Meuse, puis à l’armée de l’Intérieur (1795), du Nord et de Sambre-et-Meuse fin 1796 et en 1797. A l’armée d’Angleterre (1798), commandant l’artillerie de l’aile droite de cette armée (avril), il servit ensuite à l’armée de l’Ouest (février 1800). Commandant à Gênes (octobre), à la division Soult en Ligurie (janvier 1801), il commanda l’artillerie de l’armée du Midi de Murat (juin). Commandant l’école d’artillerie de Metz (novembre), puis l’artillerie à Breda (mars 1803). Commandant l’artillerie du corps du Hanovre sous Mortier (mai), nommé général de division (août.) Commandant en second l’artillerie de l’armée d’Italie sous Masséna (septembre 1805). Commandant en chef, l’artillerie de l’armée de Naples sous Joseph (1806). Gouverneur de Thorn (décembre). Commandant l’artillerie du 4ème corps sous Soult (janvier 1807), il servit à Eylau, à Heilsberg et devant Königsberg (1807). Commandant l’artillerie du 2ème corps de Soult en Espagne (mars 1809). Chevalier de l’Empire, chargé de l’inspection des places de Hollande (1810). Comte de l’Empire (1811), chargé de l’inspection des places de Bretagne, Commandant l’artillerie du 2ème corps d’Oudinot à la Grande Armée (1812). Il servit en Russie puis en Saxe (1813). Commandant en chef de l’artillerie de la Garde (mars 1813). Grand’Croix de l’Ordre de la Réunion (avril), il servit à Lützen (mai), puis à Wurschen et Leipzig. Conseiller d’Etat (décembre 1813). Chambellan de l’Empereur (7 décembre), il servit en France (1814), chevalier de la Couronne de Fer (2 avril). Chevalier de Saint-Louis (1er juin), inspecteur de l’artillerie à Besançon, Grand’Croix de la Légion d’Honneur (janvier 1815), gouverneur de Lyon (5 juin). Pair de France aux Cents-jours, membre du comité spécial chargé d’organiser le travail de réorganisation du corps de l’artillerie (août). Admis à la retraite (octobre), puis dans le cadre de la réserve de l’Etat-major (février 1831). Admis à la retraite (juin 1832), il mourut à Villeneuve-Saint-Germain dans l’Aisne, le 30 juin 1832.

Simon Faultrier, fils d’un officier d’artillerie de Metz, frère de Faultrier de l’Orme qui fut général de division d’artillerie. Né à Metz le 22 août 1763. Entra au service comme élève à l’école d’application de Metz. Lieutenant en second au 3ème régiment d’artillerie (août 1779). Lieutenant en 1er (4 mai 1783). Capitaine en second (8 avril 1787), puis capitaine-commandant (22 août 1791). Il servit à l’armée du Nord, puis de Moselle, puis de Sambre et Meuse de 1792 à 1796 au 4ème régiment d’artillerie. Entré dans ce régiment (8 janvier 1793), il servit au combat d’Arlon puis à la bataille de Fleurus (26 juin 1794). Chef de Bataillon (24 septembre), puis chef de brigade (13 novembre). Il servit à l’armée du Rhin de 1796 à 1800. Commandant le 2ème régiment d’artillerie (13 mars 1800), à l’armée d’Italie. Il fut blessé d’un coup de canon à l’attaque du château de Vérone (janvier 1801). Commandant provisoire de l’artillerie de la République Italienne (11 juin 1802). Commandant l’école d’artillerie de Plaisance (avril 1803), commandant l’artillerie et la place de Plaisance (20 septembre). Directeur du parc de siège de l’armée des Côtes de l’Océan (septembre 1804). Chevalier de la Légion d’Honneur (11 décembre 1803), officier de l’ordre (14 juin 1804). Directeur de l’artillerie à Bruges (juin 1805), chef d’Etat-major des réserves d’artillerie à la Grande Armée (24 avril 1806). Membre d’une commission près l’administration des poudres et salpêtres (11 août). Général de brigade (22 novembre), commandant l’artillerie du 1er corps de Bernadotte (2 décembre). Il fut fait prisonnier à Marienwerder (28 janvier 1807). Libéré à la fin de la guerre, durant l’été, il fut nommé commandant l’artillerie du corps d’observation du général Dupont (5 novembre). Nommé commandant de l’école d’artillerie de Strasbourg, il conserva ses fonctions à l’armée et servit en Espagne (1808). Servit au combat d’Alcoléa (7 juin), il fut fait prisonnier à Baylen (22 juillet). Débarqué à Toulon (21 septembre), il retrouva un poste (octobre), nommé commandant de l’artillerie du 4ème corps d’Espagne. Il servit à Almonacid (11 août 1809), et cessa ses fonctions (mars 1811). Baron de l’Empire (2 mai), admis à la retraite (14 février 1812). Chevalier de Saint-Louis (18 juin 1817). Il mourut à Metz, le 24 juin 1832[3]. Il s’était marié à Marguerite-Charlotte de Bony. A sa mort, en plus de sa veuve, ses héritiers furent Catherine de Faultrier, majeure domiciliée à Metz rue des Clairvaux. Louis-Charlotte de Faultrier, veuve de Pierre-Michel Sottier-Defresnois, ancien commissaire des guerres, domiciliée à Metz rue d’Asfeld et Marie-Adélaïde de Cabannes épouse de Pierre-Hugues-Philippe Comte de Thénines, demeurant à Metz elle aussi rue des Clairvaux, Madame veuve de Faultrier née Lydie Curel ainsi que son neveu et fils de la précédente Pierre-Charles de Faultrier mineur, le neveu du défunt, Alfred de Faultrier, substitut du procureur du Roi à Thionville, mais aussi sa nièce Sophie de Faultrier épouse de Léopold-Georges Desaulnois, ancien officier de cavalerie demeurant à Pont-à-Mousson, son neveu Louis-Alphonse de Faultrier, lieutenant du génie en garnison à Montpellier, son neveu Emile de Faultrier capitaine d’Etat-major à la résidence de Troyes et enfin son frère Benjamin de Faultrier interdit et sous la tutelle d’Alfred Faultrier.

Etienne Florimond Guerdoux, né à Thenelles, dans l’Aisne, le 19 janvier 1761, de Pierre et Marguerite CAPLAIN (Calpin –sic- sur le document). Soldat du 28 août 1781 au 10 thermidor an X au 2ème régiment d’artillerie à pied. Campagne d’Amérique en 1781 et 1782. Campagnes de la Révolution de 1792 à 1801. Caporal (1792), sergent (1793). Pensionné pour « cataracte ancienne à l’œil gauche, la vue de l’œil droit très faible et a de la peine à se conduire ». Opération de la cataracte à « Basles », vérifiée à Besançon. Pension de 280,50 francs. Il se maria, le 31 octobre 1803, à Thenelles où il était revenu. Il eut une fille, le 17 septembre 1804. (Fiche fournie par Alain Barrault et Jean Guerdoux).

Louis-François-Jean-Baptiste de Juliard Demanelle, né le 20 octobre 1775 à Saint-Blimont dans la Somme, fils d’un garde du corps du Roi. Elève sous-lieutenant (6 octobre 1792), lieutenant (1er juin 1793), capitaine (12 décembre 1794), chef de bataillon (29 avril 1799). Colonel du 2ème régiment d’artillerie à pied (18 avril 1803). Fait officier de la Légion d’Honneur, il mourut à Plaisance au Palais Mandelli, le 7 novembre 1805.

François Monmoulin, né le 27 mai 1753 à Broye-les-Pennes en Haute-Saône, fils d’Henri Cabaretier à Broye et de Jeanne-Pierre Roux, son parrain est François Micholey le jeune de Broye et sa marraine Claudine Ferrut. Canonnier en 1767, il fit campagne en Corse (1768-1769) et fut blessé à la jambe gauche à l’affaire du Plateaux étant sous les ordres de Monsieur de Beauvoir brigadier, commandant l’artillerie. Sergent (1777), il fit campagne en Amérique de 1777 à 1783, se trouvant au combat naval sous les ordres de Monsieur de Rozin lieutenant d’artillerie commandant un détachement du régiment sur le vaisseau l’intrépide commandé par Monsieur Duplessis. Fourrier (1781), sergent-major (1784). Ses états de services indiquent que :

« il a été employé à la construction et à l’Armement de 7 forts ou batteries au-dessus des montagnes sous les ordres de Monsieur de Faultrier colonel commandant l’artillerie. En suivant les travaux ci-dessus, il est tombé de haut d’une de ces montagnes ce qui lui a occasionné des douleurs dans le bras droit et dont il ne peut se servir à différentes saisons ».

Il fit les campagnes de la Révolution de 1792 à 1801. Adjudant (1791), adjudant-major et second capitaine (1792), Capitaine commandant (1793). Il commanda en chef l’artillerie de l’armée républicaine à Doué en Vendée, pendant six mois sous les ordres des généraux divisionnaires Ligonnier, Duhoux, Sauter, Menou etc… Ses états de services mentionnent également :

« c’est trouvé à la prise et à la reprise de Coron, à deux batailles à Doué, particulièrement à celle qui a eu lieu le 6 juin 1793, ou il a sauvé 26 pièces de canons et toutes les munitions qui étaient parquées dans le parc du château et sous lauge, ce qui est constaté par un certificat de la commune de Saumur qui lui a été délivré sur le rapport des citoyens Savary, Gauthier, Jouillin commissaires civils à la suite de l’Armée. C’est trouvé le 9 Juin, à l’affaire de Saumur où il commandait les pièces de la redoute de Bournans au-dessus de cette ville, où il a sauvé la vie au général Coustard en l’arrachant des mains des mains des soldats du bataillon de l’unité de Paris, enfin s’est trouvé aux affaires de Vézins, des Ponts-de-Cé, Auge en Cessey ainsi qu’à plusieurs autres qui ont eu lieu dans la même année »[4].

Chef de bataillon et sous-directeur (1803). Chevalier de la Légion d’Honneur (14 juin 1804), il servit alors au 2ème régiment d’artillerie à pied. Il fut blessé (juillet 1805) au moment de l’explosion criminelle du magasin d’artillerie de la citadelle de Plaisance. Retraité avec une pension de 2 000 francs (13 juin 1811). Il mourut le 12 décembre 1831. Son héritière par testament établi devant notaire en 1829 est Jeanne-Antoine Roux, fille majeure, rentière.

Charles-Etienne-François comte Ruty, né à Paris le 24 avril 1828. Sous-lieutenant élève à l’école d’artillerie de Châlons (1er septembre 1792). Sortit sous-lieutenant (6 novembre 1793), lieutenant en second au 2ème régiment d’artillerie à pied à l’armée du Nord (1er juin 1794). Blessé d’un éclat d’obus à la jambe au combat de Comines, capitaine à l’armée du Rhin-et-Moselle (22 février 1796). Atteint au siège de Kehl d’une balle qui lui traversa la mâchoire fin 1796. Il servit ensuite en Egypte de 1798 à 1801. Chef de bataillon (29 juillet 1798), il commanda l’artillerie de la division Kléber en Syrie (19 janvier 1799). Directeur du Parc d’artillerie à Perpignan (21 janvier 1802). Chef de brigade du 4ème régiment d’artillerie à pied. Il fut en garnison à Grenoble de 1804 à 1805. Directeur du Parc d’artillerie du 6ème corps de la Grande Armée, du maréchal Ney. Il servit en Autriche, Prusse et Pologne de 1805 à 1807. Envoyé à Wesel (26 octobre 1806), général de brigade (8 janvier 1807), commandant l’artillerie de la réserve de cavalerie de Murat, il servit à Friedland (14 juin). Commandant l’école d’artillerie de Toulouse (29 janvier 1808). Baron de l’Empire (11 août), il commanda ensuite l’artillerie du 7ème corps de Gouvion Saint-Cyr en Espagne (9 novembre). Il rentra en France pour raison de maladie. Commandant de l’artillerie du grand équipage de siège à l’armée d’Espagne (23 janvier 1810). Il servit à l’armée du Portugal, au siège de Ciudad Rodrigo du 6 juin au 10 juillet, puis au siège d’Almeida du 24 juillet au 28 août. Il commanda l’artillerie de l’armée du Midi en Espagne (18 novembre 1810). Il servit sous Soult à la bataille d’Albuhera (16 mai 1811). Il inventa un nouvel obusier de campagne qui porta son nom. Commandant l’artillerie de l’armée d’Andalousie (1er septembre). Rentra en France (21 janvier 1813), général de division, il commanda l’artillerie du 12ème Corps d’Oudinot en Allemagne (24 avril). Comte de l’Empire (11 novembre), chef d’Etat-major de l’artillerie de l’armée d’Allemagne, puis en France. Membre du Comité de la Guerre (21 juin 1814), Chevalier de Saint-Louis, puis Grand’ Officier de la Légion d’Honneur (entre juillet et août). Inspecteur général d’artillerie à l’armée du Nord (27 avril 1815), inspecteur général du matériel et du personnel sur les Côtes de l’Océan (27 avril 1817), il fut ensuite directeur des Poudres et Salpêtres (19 novembre), puis Pair de France (5 mars 1819). Commandeur de Saint-Louis (23 mai 1825). Il mourut en 1828. Homme de haute capacité disait Boulart dans ses mémoires, mais paperassier qui abusait de la faculté d’écrire. Griois écrit de lui alors que Ruty était colonel du 4ème régiment d’artillerie à Pied :

« Ce nouveau chef portait peut-être à l’excès l’esprit de surveillance et de détail dont manquait absolument son prédécesseur, et on pouvait lui reprocher de pousser l’exactitude jusqu’à la minutie ; mais le régiment avait été abandonné si longtemps que ce défaut devenait une qualité. Il m’accueillit très bien et me chargea de plusieurs parties de l’instruction théorique et pratique »[5].

Enrôlements dans le régiment, registre d’enrôlement pour les troupes de ligne, Dijon février 1792 – mai 1793, archives municipales de Dijon, 1 H :

Sirize Lafond, natif de Limoge, et cordonnier demeurant à Dijon chez M. Dufaut, fils de Gaspard matelot et de feue Anne Coudet, âgé de 32 ans, 5 pieds et 4 pouces, cheveux noirs, front carré, yeux bruns, nez court, bouche grande, menton rond avec fossette, ayant servi huit ans dans le ci-devant régiment de Deux-Ponts Dragons suivant le congé qu’il nous a représenté, a déclaré vouloir servir au 2e régiment d’artillerie ci-devant de Metz et ne savoir signer (mars 1792).

François Glorieux, tailleur natif de Dijon y demeurant chez M. Geoffroy manouvrier rue de Chaignot et fils de Marie Berard morte le 9 avril 1787, âgé de 19 ans, 5 pieds et 4 pouces, cheveux et sourcils châtains, front échancré, les yeux petits et gris, nez un peu épaté, bouche petite, les lèvres grosses et visage long avec une cicatrice au milieu du front, a déclaré vouloir servir dans l’artillerie au 2e régiment ci-devant de Metz et a signé (mars 1792).

Joseph Vernier, tailleur de pierre, natif de Montfaucon-le-Château, district de Besançon, département du Doubs, travaillant actuellement au canal de Dijon où il est occupé depuis le mois d’août dernier, fils de Claud défunt laboureur audit lieu et de feue Pierrette Rollet, âgé de 32 ans, 5 pieds, 3 pouces et 10 lignes, cheveux et sourcils noirs, front bas et étroit, yeux gris, nez bien fait, bouche moyenne, menton rond, a déclaré vouloir servir au 2e régiment d’artillerie ci-devant de Metz et ne savoir signer (mars 1792).

Claude Chalon de Passavant, district d’Arnay âgé de 29 ans, 5 pieds et 6 pouces, a déclaré vouloir servir dans les artilleurs du ci-devant régiment de Metz, et ne sait signer. Enrôlé en octobre 1792 et inscrit au départ sur un registre destiné au 3e bataillon de la Côte d’Or, archives municipales de Dijon 1 H.

Article de Laurent B. et Jérôme Croyet

 sehri

 [1] A. Chuquet, Dagobert, p. 438-440.

[2] Danielle et Bernard Quintin, Dictionnaires des Chefs de brigade et des capitaines de Vaisseaux du Premier Consul Bonaparte, p. 45.

[3] Georges Six indique le 24 novembre, les papiers de la Chancellerie le 24 juin.

[4] Base Leonore.

[5] Mémoires de Griois, p. 165 et 166.